Quel avenir pour notre santé à l’approche de la présidentielle de 2017 ?

maladies chroniques

12 mars 2017

Dans nos hôpi­taux, les patients sont pous­sés vers la sortie pour ren­ta­bi­li­ser, au détri­ment de la qua­lité des soins. Ces poli­ti­ques qui repro­chent aux Français de coûter trop cher n’ont sans douté jamais fré­quenté les salles d’atten­tes des hôpi­taux publics. Avec la tari­fi­ca­tion à l’acti­vité (T2A), les hôpi­taux sont de fait inci­tés à effec­tuer le plus d’actes pos­si­bles, avec le moins de per­son­nel pos­si­ble.

Les hôpi­taux de cam­pa­gne essen­tiels aux habi­tants des zones rura­les mais ne tour­nant pas à plein régime, voient leurs dota­tions bais­ser. On a fermé 100.000 lits en 10 ans, beau­coup d’hôpi­taux locaux, de peti­tes mater­nité, etc.

Or les besoins aug­men­tent, entre le vieillis­se­ment de la popu­la­tion, et l’explo­sion des mala­dies chro­ni­ques (17 mil­lions d’euro­péens, soit quatre fois plus de mala­des en 20 ans).

Bonne ana­lyse de "l’oeil du fil" @Le­Fil­dAc­tu1 dans un repor­tage en 9mn de vidéo
https://youtu.be/sGG94XX5z48

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